Un poids énorme sur les épaules ...
... j'ai.
Et toikimelis, je compte sur ton sempiternel soutien. Jusqu'alors tu ne m'as jamais fait faux bond.
En toutes circonstances j'ai pu compter sur ton soutien, à travers tes commentaires.
Cette fois, je vais décharger un peu sur toi cet immense fardeau que je porte depuis exactement une heure sur mes frêles épaules de quarantenaire perpétuellement au régime.
Je n'ai pas l'habitude d'ici me répandre (si ce n'est en plaintes diverses), mais là, l'heure est grave.
Figure toi, ... je ne sais par où commencer, alors je serai directe ... (oui ça nous changera de tes parenthèses) - Ma Conscience, ta gueule s'il vous plaît -
Figure toi que d'ici quelques heures ....
je vais devoir ...
...
...
ça t'énerve hein ? hein ça t'énerve ... ?
./././ (histoire de varier un peu)
(...) (...) (...)
Bon l'Amère t'es lourde...
Je vais donc devoir ...
SAUVER LE MONDE.
Au nom de la Fraise (écrasée) et de l'Amère, tous deux Simples d'Esprit, qu'il en soit ainsi.
Je sauverai le monde en hurlant dans les micros.
Car oui, j'ai décroché le rôle principal.
Dois je vraiment m'en réjouir et m'en gausser ? Ou dois je me répandre en pleurs et lamentations...
A défaut du job de mes rêves, j'ai gagné le rôle de mes cauchemerdes.